21 mars 2022
Rencontres bruxelloises
Vite, vite, avant d'oublier, un nouvel épisode de mes chroniques belges.
Sur le salon, j'ai, bien sûr, fait le tour des stands et discuté avec les éditeurs. Certains avec lesquels j'avais pris rendez-vous et d'autres que j'ai découverts sur place.
J'ai fouiné, fouillé, exploré, inspecté tous les éventaires pour découvrir cette publication inconnue de moi et franchement, j'ai été éblouie. Par la beauté, par la variété, par l'originalité, par la qualité de cette production. Certains titres, pourtant, sont diffusés en France, mais souvent marginalement.
Je ne comptais rien acheter à cause du poids que ça aurait ajouté à mes bagages mais un titre m'a attirée, et une fois le livre en main, emballée par l'argumentaire, je me suis dit : "Bah... pour un..." Et voilà qu'au moment où je tends mon billet pour valider l'achat, la vendeuse interpelle une femme qui s'avançait vers nous : "Évelyne, tu tombes bien, tu as une nouvelle lectrice. " De là est partie une discussion animée avec Évelyne Wilwerth sur les méthodes d'écriture, les ateliers d'écriture, le choix des genres, le choix des titres, le choix des couvertures, les relations avec l'éditeur... Évelyne a 75 ans, une pêche d'enfer et une passion pour les mots, les gens, la vie. Elle a tenu à me dédicacer mon livre, son livre... Une très belle rencontre
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